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Les enfants passeraient trop de temps devant les écrans

Avec des écrans à la maison, à l’école et dans la rue, pas facile pour les enfants d’en détacher leurs yeux. Seulement, le temps passé devant la télé ou devant la tablette est trop important d’après les autorités sanitaires. Elles parlent de 56 minutes en moyenne tous les jours pour les petits de 2 ans d’après une étude. Cela monte à 1h10 à l’âge de 3 ans. Plus d’1h30 à 5 ans.

Des disparités géographiques existent. Il apparaît que, dans les Hauts-de-France, les enfants regardent plus les écrans qu’en Bretagne, d’après la même étude. C’est la télé qui arrive en tête devant les tablettes et les smartphones.

Yasmina est la maman d’un petit garçon de 3 ans. Elle met un cadre à la maison même si aujourd’hui c’est compliqué. Témoignage à notre antenne.

Une journée pour mettre en lumière les ambulanciers

Le 8 avril marque la Journée nationale des ambulanciers. L’occasion de mettre les projecteurs sur cette profession indispensable, mais qui se sent un peu mal-aimée sur la route. Bastien Bodecot, ambulancier, était à notre antenne. C’est lui qui est à l’initiative de cette journée dédiée.

Par ailleurs, le secteur recrute. Il faut dire qu’il manque 15 000 ambulanciers dans l’hexagone. Beaucoup renoncent à cause du travail de nuit, le week-end et des salaires proches du Smic.

Barbara Thuillier avec DJ © Photo ambulancier-lesite.fr

Une journée pour mettre en lumière les ambulanciers

Le 8 avril marque la Journée nationale des ambulanciers. L’occasion de mettre les projecteurs sur cette profession indispensable, mais qui se sent un peu mal-aimée sur la route. Bastien Bodecot, ambulancier, était à notre antenne. C’est lui qui est à l’initiative de cette journée dédiée.

Par ailleurs, le secteur recrute. Il faut dire qu’il manque 15 000 ambulanciers dans l’hexagone. Beaucoup renoncent à cause du travail de nuit, le week-end et des salaires proches du Smic.

Barbara Thuillier avec DJ © Photo ambulancier-lesite.fr

Une journée pour sensibiliser au syndrome du bébé secoué

Le 5 avril marque la Journée nationale du syndrome du bébé secoué. Un phénomène qui survient quand le parent, ou la personne en charge du petit, est exaspérée par ses pleurs. Un acte qui peut avoir de graves conséquences sur la santé de l’enfant, et peut conduire à sa mort dans 1 cas sur 5.

Marie Lemeille Santais, de l’association Stop Bébé Secoué, était à notre antenne. Elle donne ses conseils pour éviter le pire.

 

Le syndrome du bébé secoué concerne environ 500 enfants chaque année en France. À noter que des numéros d’urgence existent : SOS Parentalité au 09 86 87 32 62 ou Allo Parents Bébé au 0 800 00 34 56.

Pauline Tressols avec DJ © Photo Unsplash

Une journée pour sensibiliser au syndrome du bébé secoué

Le 5 avril marque la Journée nationale du syndrome du bébé secoué. Un phénomène qui survient quand le parent, ou la personne en charge du petit, est exaspérée par ses pleurs. Un acte qui peut avoir de graves conséquences sur la santé de l’enfant, et peut conduire à sa mort dans 1 cas sur 5.

Marie Lemeille Santais, de l’association Stop Bébé Secoué, était à notre antenne. Elle donne ses conseils pour éviter le pire.

 

Le syndrome du bébé secoué concerne environ 500 enfants chaque année en France. À noter que des numéros d’urgence existent : SOS Parentalité au 09 86 87 32 62 ou Allo Parents Bébé au 0 800 00 34 56.

Pauline Tressols avec DJ © Photo Unsplash

C’est la saison des floraisons … et des allergies

Attention aux allergies. Un pic est attendu en ce début de semaine, d’après les experts. Une trentaine de départements sont en rouge sur la carte. C’est le cas du Var et des Bouches-du-Rhône.

Les yeux qui grattent, le nez qui coule et des éternuements à répétition… ce sont les symptômes. Alors comment éviter les risques ? Réponse de Dominique Poggi, médecin généraliste à Nice, à notre micro.

Meriam Riahi avec PT / © Pixabay

C’est la saison des floraisons … et des allergies

Attention aux allergies. Un pic est attendu en ce début de semaine, d’après les experts. Une trentaine de départements sont en rouge sur la carte. C’est le cas du Var et des Bouches-du-Rhône.

Les yeux qui grattent, le nez qui coule et des éternuements à répétition… ce sont les symptômes. Alors comment éviter les risques ? Réponse de Dominique Poggi, médecin généraliste à Nice, à notre micro.

Meriam Riahi avec PT / © Pixabay

Gare aux accidents de plongée, en hausse autour de la Méditerranée

Alors que l’été approche à grands pas, les autorités alertent sur les accidents de plongée. Ils sont fréquents sur le pourtour méditerranéen.

La saison dernière, 155 accidents de plongée avec bouteille ont été enregistrés autour de la Méditerranée, dont 9 mortels, d’après les derniers chiffres du CROSSMED. Le département du Var est particulièrement concerné car il concentre plus de la moitié des accidents : 83 l’an dernier dont 3 mortels. Cela s’explique par le fait que ce département possède un très grand nombre de sites de plongée.

En ce mois de mars, les services officiels ont décidé de mettre l’accent sur la prévention à l’occasion d’une journée départementale organisée ce lundi.
L’occasion pour Peggy Froger, la cheffe adjointe du Service Départemental à la jeunesse, à l’engagement et aux sports du Var, de dispenser ses conseils aux amateurs de plongée. Alors que les accidents sont plus ou moins graves. « Ça peut partir du malaise tout simple jusqu’à jusqu’à la crise cardiaque ».

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