Suivez nous sur :

Les correspondants locaux de Nice-Matin et Var-Matin en colère

Les correspondants locaux de presse de Nice-Matin et Var-Matin notamment sont en colère. Depuis quelques jours, ils ont lancé un mouvement de « mutinerie » au sein du quotidien régional.

Le mouvement, parti du Var et qui gagne les Alpes-Maritimes, vise à obtenir une revalorisation des tarifs des piges et un défraiement adapté des trajets professionnels.

Ces correspondants ne sont pas des journalistes salariés du groupe, mais des personnes à leur compte, qui ont souvent une activité à côté et qui travaillent au coup par coup, en fonction de l’actualité de leur village ou canton. Ils perçoivent 4,76 euros de l’heure, disent-ils, et affirment que leur salaire n’a pas été revalorisé en 20 ans.

Dès le lancement de ce mouvement, plusieurs correspondants disent aussi s’être vu supprimer leurs accès aux outils de travail du journal.

Pour Marc Volpin, correspondant local de presse à La Crau, dans le Var, le travail des correspondants locaux est pourtant primordial, car il représente jusqu’à 75% du contenu d’un quotidien régional.

La direction du groupe Nice-Matin, que nous avons jointe, ne souhaite pas réagir pour le moment. Elle explique cependant être en train d’étudier les revendications des correspondants avant de leur proposer une réunion pour leur apporter des réponses début avril.

Une journée de recrutement à Aquasplash et Marineland

Un job dating est organisé ce jeudi pour travailler à Marineland et Aquasplash, à Antibes. 100 postes sont à pourvoir pour les vacances de Pâques et les ponts de mai.

Plus de 300 autres pour la période estivale. Une journée de recrutement en mode “speed dating” sur place, de 10h à 16h. Attention à ne pas oublier son CV.

Un mouvement de « mutinerie » lancé par les correspondants de presse locaux

Les correspondants locaux de presse, pour Nice-Matin et Var-Matin notamment, expriment leur colère. Ce ne sont pas des journalistes salariés du groupe, mais des personnes qui travaillent au coup par coup, en fonction de l’actualité de leur village ou canton. Ils perçoivent seulement 4,76 euros de l’heure, disent-ils, et affirment que leur salaire n’a pas été revalorisé en 20 ans.

Certains ont lancé une « mutinerie », afin d’obtenir une revalorisation de leurs indemnités et défraiements. Seulement, plusieurs correspondants se sont vus aussitôt supprimer leurs accès aux outils de travail du journal.

À notre micro, Marc Volpin, correspondant local de presse à La Crau, dans le Var.

Le freelancing attire de plus en plus de Français

Quitter son CDI pour se mettre à son compte. Cela s’appelle le freelancing. 45% des Français qui ont sauté le pas mettent en avant un aménagement du temps de travail plus simple et un meilleur salaire à la fin du mois. Il faut juste dépasser la paperasse administrative.

À notre micro, Prince Moukoumbouka, président de la société Cegelem qui gère les salariés freelance.

Le luxe et les nouvelles technologies sont les secteurs qui marchent le mieux en freelance.

 

 

La protection civile cherche des bras dans les Alpes-Maritimes

Le 1er mars de chaque année est dédié aux membres de la protection civile à travers le monde. En France, ils sont 32 000 bénévoles à se tenir prêt à intervenir en cas de catastrophe notamment.

Une journée mondiale pour mieux faire connaître leurs missions auprès du grand public, mais aussi pour recruter.

L’AMBIANCE QU’IL VOUS FAUT

NOS WEB RADIOS


Suivez nous sur :