Les épisodes pluvieux du mois de mars n’auront pas amélioré la situation. Les trois quarts des nappes phréatiques sont à un niveau bas ou extrêmement bas dans l’hexagone, contre 58% il y a un an.
La Provence-Alpes-Côte d’Azur fait partie des trois régions où les sols sont les plus secs en France métropolitaine.
Le label des villes et villages fleuris vient de dévoiler son palmarès 2022 en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Nice, Cannes, Menton conservent leur label « 4 fleurs », Antibes a « 3 fleurs » mais est distinguée pour la qualité de ses espaces verts. Blausasc, entre dans ce palmarès avec « 3 fleurs ».
Mais force est de constater, alors que la sécheresse concerne déjà toute la région, qu’il faut redoubler d’ingéniosité afin de continuer à conserver des espaces verts toujours verts et attrayants.
Le problème ne date pas d’hier pour François de Canson, le Vice-Président de la Région Sud.
Virginie Kienon avec JT / © Photo ville de Nice
Le label des villes et villages fleuris vient de dévoiler son palmarès 2022 en Provence-Alpes-Côte d’Azur. Nice, Cannes, Menton conservent leur label « 4 fleurs », Antibes a « 3 fleurs » mais est distinguée pour la qualité de ses espaces verts. Blausasc, entre dans ce palmarès avec « 3 fleurs ».
Mais force est de constater, alors que la sécheresse concerne déjà toute la région, qu’il faut redoubler d’ingéniosité afin de continuer à conserver des espaces verts toujours verts et attrayants.
Le problème ne date pas d’hier pour François de Canson, le Vice-Président de la Région Sud.
Virginie Kienon avec JT / © Photo ville de Nice
Les Alpes-Maritimes accueillent en ce moment le Festival des Jardins de la Côte d’Azur. Un concours international de créations paysagères éphémères qui sont exposées dans les jardins publics du département.
Pas moins de 17 créations sont à retrouver entre Nice, Cannes, Grasse et Antibes, mais aussi en Principauté de Monaco jusqu’au 1er mai 2023.
Mazdak Rohani, paysagiste et formateur au Campus Vert d’Azur à Antibes, est à notre antenne. Il a supervisé la création du jardin exposé au Parc Exflora, réalisé et pensé par des élèves de la région. Un jardin présenté hors concours mais qui a été travaillé avec minutie. Il revient sur le processus de création.
DJ / © Photo Mazdak Rohani
Les Alpes-Maritimes accueillent en ce moment le Festival des Jardins de la Côte d’Azur. Un concours international de créations paysagères éphémères qui sont exposées dans les jardins publics du département.
Pas moins de 17 créations sont à retrouver entre Nice, Cannes, Grasse et Antibes, mais aussi en Principauté de Monaco jusqu’au 1er mai 2023.
Mazdak Rohani, paysagiste et formateur au Campus Vert d’Azur à Antibes, est à notre antenne. Il a supervisé la création du jardin exposé au Parc Exflora, réalisé et pensé par des élèves de la région. Un jardin présenté hors concours mais qui a été travaillé avec minutie. Il revient sur le processus de création.
DJ / © Photo Mazdak Rohani
Un défi est lancé dans plusieurs collèges en France, à Monaco et à l’étranger pour trouver des idées pour protéger les océans. Ça s’appelle Océano Pour Tous. L’idée, c’est d’imaginer des solutions pour sauver les poissons, les cétacés et les plantes aquatiques menacées par le dérèglement climatique.
La marraine de l’opération est Estelle Lefébure, et pour elle il s’agit « de leur montrer ce qui se passe. On essaye surtout de les encourager et je pense qu’il faut quand même donner espoir. Il y a plein de solutions, on va les trouver. Les enfants ont de superbes idées. Je crois qu’il faut les écouter. Cette nouvelle génération va avoir un rôle très important. Je crois qu’elle prend le relais d’une planète qui est quand même en difficulté. Et ce sont plutôt les parents qu’il faut un peu éduquer ! »
Ces élèves du collège Villeneuve de Fréjus prennent ce rôle très au sérieux : « Maintenant je vais faire plus attention, je préviendrai mes familles et mes amis. Je leur dirai de jeter leurs déchets dans les poubelles de tri ». « Déjà pour les animaux marins, pour les préserver et pour les laisser vivre. Une tortue va confondre un déchet avec une méduse ou autre chose, et va manger, elle risque de mourir ».
Ce défi est lancé par le musée océanographique de Monaco. Il ne reste plus que quelques jours aux apprentis écolos pour trouver des solutions. La remise des prix est programmée en avril.
Meriam Riahi avec JP et JT / © Photo Musée Océanographique de Monaco
Le collectif toulonnais Stop Croisières Grande Rade de Toulon s’attaque aux navires de croisières et leur pollution. Comme son nom l’indique, il entend interdire l’accès aux paquebots aux abords de la ville.
À quai, ces bateaux consommeraient 2 000 L de gazole à l’heure. Soit l’équivalent de 30 000 véhicules. Le collectif dénonce l’impact pour l’environnement mais aussi pour la santé des habitants.
© Pexels
Les soutiens au projet Canua Island sont de moins en moins nombreux. C’est au tour de la ville de Cannes d’afficher clairement son opposition à l’implantation d’un bar-restaurant sur une plateforme flottante au large de Mandelieu-la-Napoule. L’unanimité des adjoints de la municipalité a émis un avis défavorable lorsque le dossier leur a été présenté.
La mairie dénonce l’impact environnemental mais aussi les nuisances de toutes sortes et les conséquences sur la navigation.
Une affaire qui pousse même David Lisnard, le maire de Cannes, à remettre sur la table la question du pouvoir de réguler l’activité maritime par les maires le long du littoral de leur commune, au-delà de la bande des 300 mètres. Car dans le projet Canua Island, c’est bien l’État qui tranchera.
Crédit photo : Canua Island
