Ils ont été utilisés pendant la grève contre la réforme des retraites, ou bien durant les manifestations contre les méga-bassines à Sainte-Soline. Les drônes sont dans le viseur de la Ligue des droits de l’homme.
L’association dénonce un moyen de surveillance intrusif qui a été banalisé. À notre micro, Henri Busquet, porte-parole de la LDH.
« C’est un outil particulièrement intrusif parce que vous êtes en 3D et vous pouvez filmer sur une bande extrêmement large. C’est aussi une marche supplémentaire vers la surveillance généralisée. Les policiers professionnels savent très bien où sont les individus violents. Il n’y a pas besoin d’avoir un drone. »