Alors que les drapeaux de Marseille sont en berne depuis ce lundi soir, les enquêteurs sont mobilisés dans la cité phocéenne près des décombres des deux immeubles qui se sont effondrés tôt ce dimanche de Pâques. La piste d’une explosion au gaz est privilégiée.

Le dernier bilan, ce mardi matin, évoque au moins 6 morts et 2 disparus. Des analyses ADN devraient permettre d’identifier les victimes le plus vite possible d’après le parquet. Les secours tentent encore de retrouver des survivants plus de 48 heures après la catastrophe. Des médecins, des psychologues aident tous ceux qui en ont besoin sur place. Un numéro d’urgence est ouvert pour les proches des victimes disparues.

Ce lundi soir, 300 personnes ont assisté à la veillée de prières en hommage aux victimes. Le cardinal de Marseille, Jean-Marc Aveline, parle d’un moment important pour tous les habitants de la cité phocéenne à la sortie de la veillée : « C’était très impressionnant et je crois très réconfortant. Beaucoup avaient les larmes aux yeux parce qu’ils sont touchés, parce que forcément, c’est quelque chose qui fait peur aussi parce que ça peut nous arriver à tous ».

Julie Pierret avec JT / © Photo Ville de Marseille

Alors que les drapeaux de Marseille sont en berne depuis ce lundi soir, les enquêteurs sont mobilisés dans la cité phocéenne près des décombres des deux immeubles qui se sont effondrés tôt ce dimanche de Pâques. La piste d’une explosion au gaz est privilégiée.

Le dernier bilan, ce mardi matin, évoque au moins 6 morts et 2 disparus. Des analyses ADN devraient permettre d’identifier les victimes le plus vite possible d’après le parquet. Les secours tentent encore de retrouver des survivants plus de 48 heures après la catastrophe. Des médecins, des psychologues aident tous ceux qui en ont besoin sur place. Un numéro d’urgence est ouvert pour les proches des victimes disparues.

Ce lundi soir, 300 personnes ont assisté à la veillée de prières en hommage aux victimes. Le cardinal de Marseille, Jean-Marc Aveline, parle d’un moment important pour tous les habitants de la cité phocéenne à la sortie de la veillée : « C’était très impressionnant et je crois très réconfortant. Beaucoup avaient les larmes aux yeux parce qu’ils sont touchés, parce que forcément, c’est quelque chose qui fait peur aussi parce que ça peut nous arriver à tous ».

Julie Pierret avec JT / © Photo Ville de Marseille