KISS FM

Les crématoriums n’échappent pas à la crise énergétique. Le prix des crémations pourrait bondir d’un tiers d’après une récente étude, pour passer de 700 Euros à plus de 900 Euros. La faute au prix du gaz utilisé pour les fours crématoires.

Grâce à un contrat signé sur 2 ans, Gauthier Caton qui dirige une société de pompes funèbres dans la région d’Orléans, devrait parvenir à maintenir les tarifs. Mais quid des années à venir, d’autant qu’il est très difficile de réaliser des économies dans ce genre d’entreprises.

Virginie Kiénon et Daniel Jacomella

Pour les motards, c’est un véritable serpent de mer, après un nouveau rebondissement pour le contrôle technique des deux-roues. Le conseil d’État vient de dire qu’il doit être mis en œuvre en France. Il estime que les alternatives proposées par le gouvernement ne sont pas suffisantes pour échapper à cette réglementation européenne.

La fédération des motards en colère ne compte pas en rester là, explique Philippe Neveux, l’un des porte-parole à Nice.

Le ministre des transports parle d’une réunion de concertation dès la fin de la semaine avec les associations de motards. Il veut que la mesure soit la moins pénalisante possible pour les deux-roues.

Après le placement en liquidation judiciaire de l’enseigne Camaïeu, plus de 2 000 salariés sont licenciés. Mais voilà, il reste encore des stocks dans les 500 magasins en France. Une énorme vente aux enchères aura lieu ce mercredi 2 novembre. Un stock estimé à plus de 50 millions d’euros. Il reste encore deux millions de pièces. Certaines n’ont même jamais été commercialisées car prévues, à la base, pour la saison d’hiver.

Ces stocks sont proposés principalement aux enseignes professionnelles. Les particuliers devront, eux, débourser la coquette somme de 50 000 euros pour acheter des vêtements, ce mercredi, près de Lille.

D’autres ventes aux enchères auront lieu dans les prochains mois. Là ce sera pour liquider les affaires de bureaux.

Concernant les salariés, ils recevront tous une prime de 6 000 euros chacun. Le comité social et économique a validé cette somme en début de semaine dernière d’après les syndicats.

Julie Pierret

Nous sommes le 1er novembre, et il y a quelques changements dans le quotidien des français ce matin.

La trêve hivernale commence, elle empêche d’expulser des locataires jusqu’au 31 mars prochain… même s’ils ne payent pas les loyers. C’est dans la loi.

Du mieux dans le portefeuille de certains français : l’allocation de soutien familal augmente de 50%. Elle passe de 123 à 184 euros par mois et par enfant. Une aide donnée sur critères sociaux.

Un coup de pouce du gouvernement. Un chèque énergie fioul de 200 euros maximum sera versé à compter du 8 novembre. Une aide pour 1 million 600 mille ménages modestes.

Autre changement : là c’est pour les ados. Le BAFA est maintenant accessible à partir de 16 ans et non plus 18. C’est le diplôme demandé pour être animateur par exemple dans une colonie ou dans un centre de loisirs.

Enfin les aspirateurs, les machines à laver ou les laves vaisselle doivent avoir un indice de réparabilité. C’est une étiquette qui indique si le produit est réparable facilement ou pas.

Julie Pierret

On se croirait presque dans un film de science-fiction et pourtant c’est très sérieux. La NASA monte une équipe de scientifiques aux Etats-Unis pour étudier les OVNI. La mission est simple : tirer des conclusions scientifiques sur ce qu’il se passe au dessus de nos têtes, dans l’espace.

16 experts vont travailler pendant 9 mois sur ces OVNIS. L’idée, c’est de les approcher et de les comprendre. Pendant presqu’un an, les scientifiques vont tenir un carnet de bord et noter toutes les avancées sur le sujet. Cette étude des OVNIS présentent un intérêt pour la sécurité des pays et la sécurité aérienne. Leur apparition est souvent associée à une forme de vie extraterrestre.

Remise de la copie en milieu d’année prochaine. La NASA assure que tous les résultats seront rendus publics.

Des frissons, des sorts, des bonbons… Ce soir, c’est Halloween. L’occasion de se faire peur, et de se déguiser. Et cette année, tout est permis : il n’y a pas vraiment de tendance dans les déguisements. Reportage avec des commerçants parisiens.