Il manque des policiers dans les commissariats par endroits en France. Certains tournent au ralenti, d’autres sont complètement fermés, comme à Nice ou à Marseille.
De nombreux fonctionnaires se mettent en arrêt maladie en soutien à leurs collègues placés en détention provisoire après l’affaire Nahel ou suite aux suspicions de violences policières à Marseille en marge des émeutes.
Un mouvement parti pour durer selon Laurent Martin de Frémont, porte-parole du syndicat Unité SGP Police, à notre antenne.
« Au-delà de ça, nous, on a fait des propositions, on demande notamment un statut particulier pour le policier. On demande également la création d’un pôle de magistrats […] aguerris à l’emploi et à l’utilisation des armes des policiers, notamment en matière de légitime défense. »
Une centaine de policiers étaient rassemblées ce mercredi devant la caserne Auvare, à Nice.