Une étude menée à l’université de Grenoble explore l’impact d’une taxation des produits gras et sucrés sur les comportements de consommation.

La « taxe soda » en France existe depuis 2012 mais son efficacité est limitée en raison de son faible coût et de son manque de visibilité sur les produits.

Le laboratoire Gael de Grenoble a recréé un mini-magasin pour observer les comportements d’achat des consommateurs.

Des réductions de prix pour les produits sains et des majorations pour les moins sains ont été testées, mais des écarts trop importants n’ont pas eu d’effet significatif.

Une taxation modérée combinée à un étiquetage clair semble être la solution la plus efficace pour encourager des choix alimentaires sains.