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Le rhum niçois « Tue Diable » : un rhum qui n’est pas au goût de la répression des fraudes


19 février 2024

La création de la boisson « Tue Diable » par Alexandre Gallet, ancien caviste à Nice, suscite l’enthousiasme des consommateurs mais aussi l’attention de la répression des fraudes.

L’étiquette, mentionnant « Rhum niçois », conduit à des poursuites pour « tromperie sur la nature d’une marchandise » et « inexécution d’une injonction de mise en conformité ».

L’appellation « Rhum niçois » est contestée car elle ne respecte pas les critères stricts de l’Union Européenne pour le rhum. Le TAV (taux d’alcool par volume) doit être d’au moins 37,5°, ce qui n’est pas le cas du « Tue Diable ».

Malgré les ajustements et l’appellation « spiritueux niçois », les problèmes juridiques persistent, menaçant l’entreprise de Gallet.

Son avocat dénonce un traitement disproportionné, comparé à d’autres entreprises. L’avocat niçois cite le scandale de l’eau « de source », traitée à l’insu du consommateur. Il plaide pour un avertissement plutôt qu’une sanction sévère.

 

Photo : tuediable.com

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