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Des influenceurs signent une tribune contre les futures réglementations

Une proposition de loi pour encadrer les influenceurs sur internet doit être examinée dans les prochains jours. « Ne cassez pas notre modèle à cause des dérives d’une minorité ». Voilà ce que disent 150 créateurs de contenus sur les réseaux. Ils signent une tribune dans la presse, lancée par l’union des métiers de l’influence et des créateurs de contenus. Elle arrive juste après les annonces du ministre de l’Économie.

Notamment celle de les soumettre aux mêmes règles publicitaires que les médias classiques lorsqu’il s’agit de la promotion de certains produits, alors que ces influenceurs sont parfois accusés de tromperie. Problème : c’est leur plus grosse source de revenus. Ils demandent aux députés de ne pas les considérer comme une menace.

Mais cette tribune est jugée maladroite pour certains créateurs de contenus qui ont finalement décidé de retirer leur signature. C’est le cas de Squeezie et de Cyprien. La proposition de loi, examinée dans les prochains jours, doit également interdire la promotion de la chirurgie esthétique.

Photo d’illustration © Pixabay

Chat GPT, nouveau fléau pour les enseignants

Chat GPT, c’est l’application du moment, basée sur de l’intelligence artificielle. Elle répond à toutes sortes de questions, et notamment celles posées à l’école.

À notre micro, Hugo Romani, professeur d’histoire en collège. Pour lui, il est difficile de savoir si un élève a utilisé Chat GPT ou non.

Un gros sujet juste avant les partiels et les épreuves de spécialité du bac, qui commencent la semaine prochaine.

Une appli qui indique des lieux pour se réfugier en cas de danger

En cette semaine marquée par la journée internationale du droit des femmes et alors que des manifestations sont organisées partout dans le pays pour dénoncer les inégalités…

Focus sur une application qui permet aux femmes, et à tous de façon générale, de pouvoir se mettre en sécurité en cas de danger imminent.

L’application recense 6000 lieux safe place dans l’hexagone, dont plusieurs dizaines en Provence-Alpes-Côte d’Azur. « Des bars, des pharmacies, des commissariats de police », explique Pauline Vanderquand, l’une des dirigeantes de UMAY.

Selon ses concepteurs, UMAY revendique à ce jour 35 000 utilisateurs actifs qui ouvrent quotidiennement l’application.L’entreprise, qui se veut citoyenne, se finance en renseignant des collectivités comme la ville d’Aix-en-Provence, ou des transporteurs comme Transdev, sur les lieux les plus touchés par l’insécurité.

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