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14 juillet : des restrictions de circulation à Nice pour les festivités

Top départ dans deux jours des festivités autour du 14 juillet. Et à l’occasion de la fête nationale, attention aux nombreuses restrictions de circulation à Nice. Elles seront mises en place dès jeudi soir. Il sera, par exemple, impossible de rouler sur la Promenade des Anglais ou encore d’emprunter le tunnel Liautaud, de l’avenue Max Gallo à la sortie Garibaldi, entre autres. Pour se déplacer, la ville appelle à privilégier les transports en commun.

En ce qui concerne le programme de ces 13 et 14 juillet à Nice, le feu d’artifice sera tiré jeudi soir, à 22h, au niveau du quai des États-Unis. Le spectacle sera accompagné d’une playlist avec des chansons françaises de 1868 à nos jours.

Le lendemain, vendredi, journée hommage aux victimes de l’attaque du 14 juillet 2016. Le rendez-vous est donné à 9h30 devant le monument « L’Ange de la Baie », installé en face de l’hôtel Le Royal. À 22h34, 86 projecteurs seront allumés en mémoire des victimes.

Âgé de 77 ans, le maire de Bairols est décédé

La vallée de la Tinée endeuillée. Le maire de Bairols, Claude Mercanti, s’est éteint à l’âge de 77 ans. Élu en 2021 dans cette petite commune de 105 âmes, il succédait à Charles Angelin Buerch, décédé lui aussi en cours de mandat.

Le maire de Nice, Christian Estrosi, a réagi. Il parle d’un homme qui a fait beaucoup pour préserver le patrimoine de son village. Pour le président du département des Alpes-Maritimes, Charles Anges Ginésy, c’était un homme discret et de grande valeur.

© Photo Facebook Christian Estrosi

Âgé de 77 ans, le maire de Bairols est décédé

La vallée de la Tinée endeuillée. Le maire de Bairols, Claude Mercanti, s’est éteint à l’âge de 77 ans. Élu en 2021 dans cette petite commune de 105 âmes, il succédait à Charles Angelin Buerch, décédé lui aussi en cours de mandat.

Le maire de Nice, Christian Estrosi, a réagi. Il parle d’un homme qui a fait beaucoup pour préserver le patrimoine de son village. Pour le président du département des Alpes-Maritimes, Charles Anges Ginésy, c’était un homme discret et de grande valeur.

© Photo Facebook Christian Estrosi

Deux « enfants cachés » de la guerre ont pu rendre hommage à leurs aïeux tués dans les camps en Pologne

Le week-end a été particulièrement émouvant pour deux enfants cachés de la guerre. Des survivants, tous deux épargnés par les rafles et les camps de concentration ou d’extermination lors de la seconde guerre mondiale.

Ils ont pu se rendre en Pologne pour rendre hommage à leurs aïeux tués au camp de Treblinka, au sud de Varsovie. Pour ces deux témoins de la Shoah, c’est forcément « beaucoup d’émotion » explique Daniel Wancier, l’un d’eux. C’est la première fois qu’il se rend ici où ses « grands-parents maternels, oncles, tantes ont été tués, ils n’ont pas de sépulture. Ils sont partis dans la fumée des fours crématoires ».

 

 

Roger Wolman explique que son « grand-père était ici. Il était certainement venu de Varsovie et on l’a amené ici pour le mettre à mort. Ici, l’humanité s’est déshonorée. On ne peut jamais se relever de ce qui a été fait ici et dans tous les camps de Pologne. Jamais ».

Les deux retraités ont pu rendre hommage à leurs ancêtres dans le cadre d’un voyage de perfectionnement sur le thème de la seconde guerre mondiale, organisé par le conseil départemental des Alpes-Maritimes avec près d’une vingtaine de professeurs de collèges du département.

JT / © Photo JT

Deux « enfants cachés » de la guerre ont pu rendre hommage à leurs aïeux tués dans les camps en Pologne

Le week-end a été particulièrement émouvant pour deux enfants cachés de la guerre. Des survivants, tous deux épargnés par les rafles et les camps de concentration ou d’extermination lors de la seconde guerre mondiale.

Ils ont pu se rendre en Pologne pour rendre hommage à leurs aïeux tués au camp de Treblinka, au sud de Varsovie. Pour ces deux témoins de la Shoah, c’est forcément « beaucoup d’émotion » explique Daniel Wancier, l’un d’eux. C’est la première fois qu’il se rend ici où ses « grands-parents maternels, oncles, tantes ont été tués, ils n’ont pas de sépulture. Ils sont partis dans la fumée des fours crématoires ».

 

 

Roger Wolman explique que son « grand-père était ici. Il était certainement venu de Varsovie et on l’a amené ici pour le mettre à mort. Ici, l’humanité s’est déshonorée. On ne peut jamais se relever de ce qui a été fait ici et dans tous les camps de Pologne. Jamais ».

Les deux retraités ont pu rendre hommage à leurs ancêtres dans le cadre d’un voyage de perfectionnement sur le thème de la seconde guerre mondiale, organisé par le conseil départemental des Alpes-Maritimes avec près d’une vingtaine de professeurs de collèges du département.

JT / © Photo JT

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