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Manifestations spontanées à Marseille contre les violences policières

Des centaines de personnes ont défilé à Marseille jeudi soir pour dénoncer les violences policières. Syndicats, partis de gauche et citoyens n’étaient en revanche que quelques dizaines à Nice devant le Palais de Justice ou devant la préfecture de Toulon.

À Marseille, une personne a été interpellée pour dégradation. La Cité Phocéenne où plusieurs feux de poubelles ont été déclenchés, des abribus détruits tout comme un distributeur de billets.

Des projectiles ont été lancés sur un commissariat.

DJ / © Photo PoingMarseille

Fin de la trêve hivernale : les associations inquiètes

Ce vendredi 31 mars signe la fin de la trêve hivernale. Période durant laquelle les expulsions de logement pour cause de loyers impayés est impossible.

À partir du 1er avril, elles pourront donc reprendre. De quoi susciter la crainte des associations qui redoutent une augmentation des procédures d’expulsions cette année.

En raison de l’inflation, Certains ménages n’arrivent pas à boucler les fins de mois et donc à payer le loyer. Cela alors que près de la moitié des organismes HLM a constaté une hausse de 10% des retards de paiement en décembre dernier.

La Fondation Abbé-Pierre demande un triplement du chèque énergie et une hausse des APL pour soutenir les plus modestes.

DJ / © Photo Unsplash

Fin de la trêve hivernale : les associations inquiètes

Ce vendredi 31 mars signe la fin de la trêve hivernale. Période durant laquelle les expulsions de logement pour cause de loyers impayés est impossible.

À partir du 1er avril, elles pourront donc reprendre. De quoi susciter la crainte des associations qui redoutent une augmentation des procédures d’expulsions cette année.

En raison de l’inflation, Certains ménages n’arrivent pas à boucler les fins de mois et donc à payer le loyer. Cela alors que près de la moitié des organismes HLM a constaté une hausse de 10% des retards de paiement en décembre dernier.

La Fondation Abbé-Pierre demande un triplement du chèque énergie et une hausse des APL pour soutenir les plus modestes.

DJ / © Photo Unsplash

Un week-end consacré aux templiers à Biot

Des armures, des épées, des chevaliers, bienvenue au XIIIème siècle… ou plutôt à Biot et les templiers. C’est une sorte de reconstitution historique. Pas de stands de barbe à papa ou de goodies, mais plutot des toiles de jute et des bottes de paille.

Thibaut de Saint-Hilaire, c’est son nom de guerre, est dans la compagnie médiévale des blancs manteaux. Il nous raconte un moment fort de ce week-end : la réception : « c’est recevoir un prétendant, un postulant qui est civil, qui est laïc et qui veut rentrer.  Les Templiers c’étaient déjà des chevaliers, ils étaient déjà adoubés. Et lorsque ici on fait une réception, c’est lorsqu’il veut rentrer dans l’ordre. Il quitte son habit de civil, et on va lui remettre le blanc manteau. Cette cérémonie sera suivie ensuite par un grand défilé ».

Le montage des campements, c’est ce vendredi matin. Tout le reste, c’est jusqu’à dimanche. C’est un bond 800 ans en arrière.

Iona Macrae avec JT / © Photo Destination Côte d’Azur

Un week-end consacré aux templiers à Biot

Des armures, des épées, des chevaliers, bienvenue au XIIIème siècle… ou plutôt à Biot et les templiers. C’est une sorte de reconstitution historique. Pas de stands de barbe à papa ou de goodies, mais plutot des toiles de jute et des bottes de paille.

Thibaut de Saint-Hilaire, c’est son nom de guerre, est dans la compagnie médiévale des blancs manteaux. Il nous raconte un moment fort de ce week-end : la réception : « c’est recevoir un prétendant, un postulant qui est civil, qui est laïc et qui veut rentrer.  Les Templiers c’étaient déjà des chevaliers, ils étaient déjà adoubés. Et lorsque ici on fait une réception, c’est lorsqu’il veut rentrer dans l’ordre. Il quitte son habit de civil, et on va lui remettre le blanc manteau. Cette cérémonie sera suivie ensuite par un grand défilé ».

Le montage des campements, c’est ce vendredi matin. Tout le reste, c’est jusqu’à dimanche. C’est un bond 800 ans en arrière.

Iona Macrae avec JT / © Photo Destination Côte d’Azur

Les 48h de la BD : plus d’1 album vendu sur 2 est un manga

Des séances de dédicaces, des animations, des petits prix… Ce sont les 48h de la BD ce vendredi et ce samedi dans 500 librairies de l’hexagone, dont de nombreuses boutiques de la Côte d’Azur.

Le marché de la bande dessinée se porte toujours plutôt bien. 84 millions d’ouvrages ont trouvé preneurs en 2022. C’est un peu moins qu’en 2021, qui avait été marquée par la sortie d’un nouvel Asterix.  Asterix est surtout devenue la « BD de papa » alors que les mangas représentent plus d’1 vente sur 2.

Pour Anthony Morin, co-gérant d’Alpha BD à Nice, « on a une génération qui est en train de disparaître. Les générations Tintin, Astérix sont en train de partir doucement, mais ça marche toujours parce que les grands-parents achètent aux enfants, les parents achètent aux enfants, mais c’est en train effectivement de s’estomper ».

Meriam Riahi avec JT / © Photo Facebook Librairie Bullesdepapier

Les 48h de la BD : plus d’1 album vendu sur 2 est un manga

Des séances de dédicaces, des animations, des petits prix… Ce sont les 48h de la BD ce vendredi et ce samedi dans 500 librairies de l’hexagone, dont de nombreuses boutiques de la Côte d’Azur.

Le marché de la bande dessinée se porte toujours plutôt bien. 84 millions d’ouvrages ont trouvé preneurs en 2022. C’est un peu moins qu’en 2021, qui avait été marquée par la sortie d’un nouvel Asterix.  Asterix est surtout devenue la « BD de papa » alors que les mangas représentent plus d’1 vente sur 2.

Pour Anthony Morin, co-gérant d’Alpha BD à Nice, « on a une génération qui est en train de disparaître. Les générations Tintin, Astérix sont en train de partir doucement, mais ça marche toujours parce que les grands-parents achètent aux enfants, les parents achètent aux enfants, mais c’est en train effectivement de s’estomper ».

Meriam Riahi avec JT / © Photo Facebook Librairie Bullesdepapier

Festival de la Côte d’Azur : les dessous du métier de paysagiste

Les Alpes-Maritimes accueillent en ce moment le Festival des Jardins de la Côte d’Azur. Un concours international de créations paysagères éphémères qui sont exposées dans les jardins publics du département.

Pas moins de 17 créations sont à retrouver entre Nice, Cannes, Grasse et Antibes, mais aussi en Principauté de Monaco jusqu’au 1er mai 2023.

Mazdak Rohani, paysagiste et formateur au Campus Vert d’Azur à Antibes, est à notre antenne. Il a supervisé la création du jardin exposé au Parc Exflora, réalisé et pensé par des élèves de la région. Un jardin présenté hors concours mais qui a été travaillé avec minutie. Il revient sur le processus de création.

DJ / © Photo Mazdak Rohani

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